Les entreprises et les applications qu’elles conçoivent contrôlent nos identités et nos réseaux. Elles extraient nos données à partir des activités que nous partageons et que nous communiquons, pour les monétiser par le prisme d’un capitalisme de la surveillance. Si tous ces services sont proposés gratuitement, le prix à payer réside dans l’utilisation de nos précieuses données. Des milliards de personnes utilisent ces services gratuits tels que Facebook, Skype, WhatsApp, Google et bien d’autres. La logique reste cependant toujours la même : soumettre son identité, se créer un profil, construire son réseau, partager du contenu, communiquer son activité : plus ou moins toute notre vie numérique. Nous avons tous, d’une certaine façon, été induit en erreur quant à cette nouvelle forme d’esclavagisme digital. Une poignée d’entreprises récoltent ainsi les fruits de nos vies numériques.
Au cours de cette session, nous vous proposons un changement radical de paradigme.
Les entreprises et leurs services doivent avant tout nous servir sans puiser dans nos identités, nos contacts et les contenus que nous produisons.
Ces entreprises doivent respecter nos droits.
Nous, usagers, devons être en capacité de choisir les informations que nous acceptons ou non de délivrer à ces grands groupes.
Ce changement doit inclure une décentralisation radicale de nos identités et des contacts qui y sont associés.
Imaginez, être en possession de manière souveraine de votre identité !
Cette session présentera quelque-uns des développements les plus avancés dans le domaine de la communication, au service des utilisateurs et explorant des nouvelles technologies telles que la blockchain.
Elle fournira également un espace de réflexion ouvert pour réfléchir collectivement au futur de la révolution numérique.
Venez partager vos idées et vos projets !